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IN THE MOOD FOR LAVAL - Page 2

  • La pochette de MEHARI le nouvel album du Groupe Archimède et dates de concerts au Théâtre de Laval

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    Magnifique, vrombissante, bondissante, ludique, cinématographique et réjouissante pochette du nouvel album du groupe Lavallois Archimède, « Méhari » à découvrir le 7 avril 2017.


    Méhari, annoncé comme « solaire, vintage, plus fun et plus débraillé que jamais », à l’image de cette pochette. J’apprécie leurs sonorités pop et enjouées, la qualité et le dynamisme des textes et des mélodies, et leur ton à la fois décalé, teinté d’humour mais aussi réaliste, d’une ironie maligne et... salutaire, agrémentés d’un zeste de leur (im)pertinence réjouissante. Une musique d’une nostalgie joyeuse, gaiment mélancolique, intelligemment paradoxale. Des 2 premiers albums, je vous recommande tout particulièrement « Je prends », « Le bonheur », « Les premiers lundis de septembre », « A mes dépens », « Au diable vauvert », « Nos vies d’avant » .

    Dans le dernier album intitulé Arcadie, on reconnaissait leurs influences (Dutronc, Renaud, Oasis, les Beatles –auxquels me fait aussi penser cette pochette de « Méhari »-, Bashung) qu’ils avaient su dépasser et intégrer pour créer leur style bien à eux encore étoffé, sublimé, plus engagé aussi sous le beau masque de la légèreté. Avec leur singulière élégance, ironiques mais jamais cyniques, légers -seulement en apparence- mais jamais désinvoltes, impertinents mais jamais arrogants, délicats sans être mièvres, ils nous embarquaient dans leur univers, universel et particulier. Un album éclectique avec des chansons: de désamour (Au marché des Amandiers), moqueuse (ça fly away), énervée (Allons enfants)…et poignantes (Dis-le nous, Le Grand jour). Une diversité qui témoigne d’un indéniable talent et d’une subtile précision et richesse dans l’écriture des textes mais aussi dans la musique (et une véritable évolution), l’un et l’autre s’installant subrepticement dans la mémoire (comme « ça fly away »). Archimède a été nommé deux fois aux Victoires de la musique: en 2010 (comme album révélation) puis en 2012 pour « Trafalgar » comme « Album rock de l’année ».

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    Archimède sera en concert au Théâtre de Laval les 8 et 9 avril prochain à l'occasion de la sortie de son 4e album "Méhari".
    Les places seront disponibles à la réservation dès vendredi 20 janvier à partir de 10h00, sur place au Théâtre ou sur notre site web (www.letheatre.laval.fr).

    Je serai au concert du 8 avril et je ne manquerai pas de vous en reparler ici.

     

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  • Mon avis sur l'hôtel Périer du Bignon à Laval et concours (un accès pour 2 au spa à gagner)

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    Pour connaître le règlement et pour participer au concours pour remporter ce cadeau de Noël, cliquez ici pour vous rendre immédiatement sur mon site Inthemoodforhotelsdeluxe.com sur lequel figure le concours.

    Désormais la ville de Laval dispose de son hôtel 4 étoiles, l’Hôtel Périer du Bignon (qui existait déjà auparavant mais n’avait pas été homologuée, non pas que l’hôtel ne le méritait pas mais son propriétaire ne le souhaitait tout simplement pas), à deux pas du centre ville, et surtout l’adresse idéale pour visiter la ville, se reposer, ou profiter de vacances dans la région. J’espère que mes quelques photos ci-dessous et ci-dessus vous convaincront de venir découvrir cette ville souvent méconnue mais pourtant magnifique. (Vous en trouverez d’autres sur mon compte instagram @sandra_meziere ).

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    Construit par Pierre Périer du Bignon au 18ème siècle, cet hôtel classé monument historique, se situe juste à côté de la salle polyvalente (sans les nuisances sonores car le lieu est d’un calme salutaire) et du vieux Laval par lequel vous pouvez aussi y accéder, vous donnant le sentiment d’arriver dans un lieu à la fois majestueux et discret, à l’abri des regards.

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    Chaque chambre possède un décor différent et unique. A n’en pas douter, vous en trouverez une à votre goût, qu’il soit plus classique, baroque, romantique, que vous aimiez les couleurs plus vives ou les tons plus clairs. Chaque chambre vous procure en tout cas l’impression d’être invité dans une belle demeure de famille, bourgeoise, cossue et chaleureuse, la plupart avec cheminée(s) qui renforce(nt) cette impression de maison familiale et non moins cosy et luxueuse. Les chambres sont particulièrement spacieuses et leur grandeur renforce cette impression de luxe et de sérénité.

     

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    Ma préférence va à la suite « perle fine » que j’ai eu le grand plaisir de découvrir et qui vient juste d’être ouverte à la commercialisation comme 4 autres suites toutes neuves, très différentes, mais toutes très confortables et spacieuses.

    Toutes les chambres sont dotées de splendides salles de bain, certaines suites possèdent douches et baignoires, bains à remous …

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    Dans le bâtiment initial, vous trouverez également 3 suites, placées face au jardin à la française, alliant confort et sérénité en vous offrant un espace de luxe travaillé dans les moindres détails. Pour deux d’entre elles, un coin salon et un lit king size de très grand confort sont à votre disposition. Leurs spacieuses salles de bain vous permettront de choisir entre une douche ou un bain accompagné de produits d’accueil et peignoirs brodés. Vous pourrez aussi profiter de la suite familiale avec vue imprenable sur la vieille ville.

    Au printemps, ce seront au total 11 nouvelles chambres qui auront été construites. L’ancienne maison attenante va par ailleurs intégrer l’hôtel avec au programme  25 chambres de 20 m2. L’établissement totalisera alors 70 chambres.

    Toutes les chambres sont équipées du WIFI et donnent accès à la piscine. Deux chambres sont accessibles aux personnes à mobilité réduite.

    Pour bien commencer votre journée,  vous pourrez également profiter d’un petit-déjeuner continental à 13,50€ proposé au buffet ou en chambre de 7h00 à 10h00.

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    Que vous soyez là pour un séjour d’affaire, romantique ou familial, vous y trouverez votre bonheur en raison de l’emplacement idéal de l’hôtel mais aussi des services proposés : Spa avec sauna, hammam, jacuzzi mais aussi piscine chauffée d’avril à octobre à laquelle vous pouvez accéder depuis une terrasse solarium, idéale pour se reposer été comme hiver, et pour profiter du calme du jardin. Pour sublimer ces moments de détente, le spa de l’hôtel Périer du bignon s’associe avec la marque française Sothys, synonyme de sensualité et de raffinement, référence du spa et du bien-être depuis plus de soixante-dix ans, dans les spas du monde entier. Dans cet espace dédié au bien-être, vous trouverez également deux salles de soin. Sur place se trouvent aussi des esthéticiennes formées au savoir-faire Sothys. Elles pourront vous prodiguer des soins du corps ou du visage comme l’express coup d’éclat de 30 minutes pour 30 euros.

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    Les Lavallois qui souhaitent découvrir le Spa peuvent réserver leur accès pour 30 euros pour deux, un tarif vraiment attractif pour une pause sereine presque en plein centre-ville. D’ailleurs, il se pourrait que je me laisse tenter, notamment pour avoir le plaisir d’accéder à la piscine chauffée extérieure et au jacuzzi.

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    Pour vous restaurer, vous pourrez profiter du restaurant L’épicurien qui vous propose une cuisine gastronomique et des produits frais de saison. J’y consacrerai ultérieurement un article lorsque je l’aurai testé mais ces quelques photos des plats me mettent d’ores et déjà l’eau à la bouche.  L’été, vous pourrez profiter d’un diner ou d’un déjeuner paisible sur la terrasse, à l’ombre des arbres ou celle des parasols rythmés par le clapotis de la fontaine ou le chant des oiseaux. Le restaurant vous accueille du lundi au vendredi de 12h00 à 13h30 et de 19h00 à 21h00 et le samedi soir de 19h00 à 21h00. L’épicurien est fermé le samedi midi et le dimanche (sauf sur réservation de groupe de plus de 20 personnes).

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    Sachez qu’il reste de la place pour le jour du Nouvel an. N’hésitez pas à réserver. Voici les menus que vous pourrez avoir le plaisir de déguster (à un tarif très abordable, a fortiori pour un restaurant gastronomique).

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    Autre atout non négligeable : l’hôtel possède un garage de 20 places et un parking privé.

    Vous pourrez aussi profiter de sa chapelle pour organiser évènement professionnel ou privé

    Le Périer du Bignon est aussi un lieu parfait pour les mariages, la salle de réception pouvant recevoir jusqu’à 170 convives et son décor romantique sied parfaitement à ce genre de réception. Les jeunes mariés pourront ensuite profiter de la suite « Romantique poudrée ».

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    A l’image de la ville qui l’accueille, ce bel hôtel qui possède le même charme indéniable reste malheureusement méconnu. Pourquoi ne pas profiter d’un séjour au Périer du Bignon pour les découvrir ? Seul 4 étoiles de la ville, Le Périer du Bignon est sans aucun doute l’adresse idéale pour visiter la ville de Laval, une bâtisse d’exception datant du 18ème, magnifiquement rénovée tout en conservant son caractère, empreinte de sérénité, décorée avec soin, un hôtel chaleureux et intimiste, avec tous les services nécessaires pour faciliter et agrémenter votre séjour (garage, piscine, spa…) et bien sûr tous ces détails indissociables d’un 4 étoiles (peignoirs, chaussons, grand écran, wifi gratuit…).

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    C’est en tout cas sans aucun doute l’adresse que je choisirais pour séjourner à Laval, que ce soit pour un séjour d’agrément ou d’affaires. Alors, conquis ?

    Hôtel Perier Du Bignon

    7 rue de Marchis – 53000 Laval

    Tél : 02 43 49 90 00

    Facebook : www.facebook.com/pages/Perier-du-Bignon/

    http://www.hotelperierdubignon.fr/ 

    Le Périer du Bignon est aussi désormais sur instagram (@perier_du_bignon ) et sur twitter (@perierdubignon ) . N’hésitez pas à le suivre !

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    Concours :

    Pour ceux qui souhaiteraient découvrir l’établissement et profiter de son atmosphère sereine mais aussi de son magnifique spa, j’ai le plaisir, en partenariat avec l’hôtel, de vous faire gagner une journée au spa pour deux (d’une valeur de 30 euros) agrémentée d’une boisson chacun (café, thé, ou boisson rafraichissante). Le lauréat n’aura ensuite qu’à réserver le jour de son choix (bon utilisable sous 6 mois donc avant le 20 juin 2017).

    Horaires d’ouverture :

    De 14h à 20h du lundi au vendredi et le week-end de 9h à 12h et de 14h à 20h.

    Pour connaître le règlement et participer au concours pour remporter ce cadeau de Noël, cliquez ici pour vous rendre sur mon site Inthemoodforhotelsdeluxe.com sur lequel figure le concours et pour accéder directement au concours.

  • Critique de LA TÊTE HAUTE d'Emmanuelle Bercot, en présence de la réalisatrice, le 24 janvier, à Laval

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    Le 24 janvier, à 19H30, au Cinéville de Laval, sera projeté le film "La tête haute" d'Emmanuelle Bercot, un film qui avait créé l'évènement en faisant l'ouverture du 68ème Festival de Cannes. C'est dans ce cadre que j'avais eu le plaisir de le découvrir. Ci-dessous, ma critique suite à cette projection et mon compte rendu de la conférence de presse cannoise à laquelle j'avais également assisté. Un rendez-vous à ne pas manquer, le 24 janvier.

    Critique du film « La tête haute » d’Emmanuelle Bercot

    Le temps de débarrasser la scène du Grand Théâtre Lumière des apparats de l’ouverture de ce 68ème Festival de Cannes, et nous voilà plongés dans un tout autre univers : le bureau d’une juge pour enfants (Catherine Deneuve), à Dunkerque. La tension est palpable. Le ton monte. Les éclats de voix fusent. Une femme hurle et pleure. Nous ne voyons pas les visages. Seulement celui d’un enfant, Malony, perdu au milieu de ce vacarme qui assiste, silencieux, à cette scène terrible et déroutante dont la caméra frénétique accompagne l’urgence, la violence, les heurts. Un bébé crie dans les bras de sa mère qui finalement conclut à propos de Malony qu’il est « un boulet pour tout le monde ». Et elle s’en va, laissant là : un sac avec les affaires de l’enfant, et l’enfant, toujours silencieux sur la joue duquel coule une larme, suscitant les nôtres déjà, par la force de la mise en scène et l’énergie de cette première scène, implacable. Dix ans plus tard, nous retrouvons les mêmes protagonistes dans le même bureau …

    Ce film est réalisé par Emmanuelle Bercot dont j’avais découvert le cinéma et l’univers si fort et singulier avec « Clément », présenté à Cannes en 2001, dans le cadre de la Section Un Certain Regard, alors récompensé du Prix de la jeunesse dont je faisais justement partie cette année-là. Depuis, je suis ses films avec une grande attention jusqu’à « Elle s’en va », en 2013, un très grand film, un road movie centré sur Catherine Deneuve, « né du désir viscéral de la filmer ». Avant d’en revenir à « La tête haute », je ne peux pas ne pas vous parler à nouveau de ce magnifique portrait de femme sublimant l’actrice qui l’incarne en la montrant paradoxalement plus naturelle que jamais, sans artifices, énergique et lumineuse, terriblement vivante surtout. C’est aussi une bouffée d’air frais et d’optimisme qui montre que soixante ans ou plus peut être l’âge de tous les possibles, celui d’un nouveau départ. En plus d’être tendre (parfois caustique mais jamais cynique ou cruel grâce à la subtilité de l’écriture d’Emmanuelle Bercot et le jeu nuancé de Catherine Deneuve), drôle et émouvant, « Elle s’en va » montre que, à tout âge, tout peut se (re)construire, y compris une famille et un nouvel amour. « Elle s’en va » est de ces films dont vous ressortez émus et le sourire aux lèvres avec l’envie d’embrasser la vie. ( Retrouvez ma critique complète de ELLE S'EN VA en cliquant ici.)

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    Et contre toute attente, c’est aussi l’effet produit par « La tête haute » où il est aussi question de départ, de nouveau départ, de nouvelle chance. Avec beaucoup de subtilité, plutôt que d’imprégner visuellement le film de noirceur, Emmanuelle Bercot a choisi la luminosité, parfois le lyrisme même, apportant ainsi du romanesque à cette histoire par ailleurs particulièrement documentée, tout comme elle l’avait fait pour « Polisse » de Maïwenn dont elle avait coécrit le scénario. Le film est riche de ce travail en amont et d’une excellente idée, celle d' avoir toujours filmé les personnages dans un cadre judiciaire : le bureau de la juge, des centres divers… comme si toute leur vie était suspendue à ces instants.

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    Le grand atout du film : son énergie et celle de ses personnages attachants interprétés par des acteurs judicieusement choisis. Le jeune Rod Paradot d’abord, l’inconnu du casting qui ne le restera certainement pas longtemps et qui a charmé l’assistance lors de la conférence de presse cannoise du film, avec son sens indéniable de la répartie (« la tête haute mais la tête froide »…), tête baissée, recroquevillé, tout de colère rentrée parfois hurlée, dont la présence dévore littéralement l’écran et qui incarne avec une maturité étonnante cet adolescent insolent et bravache qui n’est au fond encore que l’enfant qui pleure des premières minutes du film. Catherine Deneuve, ensuite, une nouvelle fois parfaite dans ce rôle de juge qui marie et manie autorité et empathie. L’éducateur qui se reconnaît dans le parcours de ce jeune délinquant qui réveille ses propres failles incarné par Benoît Magimel d’une justesse sidérante. La mère (Sara Forestier) qui est finalement l’enfant irresponsable du film, d’ailleurs filmée comme telle, en position fœtale, dans une très belle scène où les rôles s’inversent. Dommage (et c’est mon seul bémol concernant le film) que Sara Forestier ait été affublé de fausses dents (était-ce nécessaire ?) et qu’elle surjoue là où les autres sont dans la nuance, a fortiori les comédiens non professionnels, excellents, dans les seconds rôles.

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    Ajoutez à cela des idées brillantes et des moments qui vous cueillent quand vous vous y attendez le moins : une main tendue, un « je t’aime »furtif et poignant, une fenêtre qui soudain s’est ouverte sur « Le Monde » (littéralement, si vous regardez bien…) comme ce film s’ouvre sur un espoir.

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    Après « Clément », « Backstage », «  Elle s’en va », Emmanuelle Bercot confirme qu’elle est une grande scénariste et réalisatrice (et actrice comme l'a prouvé son prix d'interprétation cannois) avec qui le cinéma va devoir compter, avec ce film énergique et poignant, bouillonnant de vie, qui nous laisse avec un salutaire espoir, celui que chacun peut empoigner son destin quand une main se tend et qui rend un bel hommage à ceux qui se dévouent pour que les enfants blessés et défavorisés par la vie puissent grandir la tête haute. Un film qui « ouvre » sur un nouveau monde, un nouveau départ et une bouffée d’optimisme. Et ça fait du bien. Une très belle idée que d’avoir placé ce film à cette place de choix d'ouverture du 68ème Festival de Cannes et de lui donner cette visibilité.

    Conférence de presse

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    Ci-dessous, quelques citations de la conférence de presse du film à laquelle j’ai assisté à Cannes. Une passionnante conférence au cours de laquelle il a été question de nombreux sujets, empreinte à la fois d’humour et de gravité, puisqu’a aussi été établi un lien entre le choix de ce film pour l’ouverture et les récents événements en France auxquels le film fait d’ailleurs, d’une certaine manière, écho. Vous pouvez revoir la conférence sur le site officiel du Festival de Cannes. Dommage que Catherine Deneuve (étincelante) ait eu à se justifier (très bien d’ailleurs, avec humour et intelligence) de propos tenus dans la presse, extraits de leur contexte et qui donnent lieu à une polémique qui n’a pas de raison d’être.

    « Je tenais à ce que tout soit absolument juste » -Emmanuelle Bercot (à propos de tout ce qui se passe dans le cadre judiciaire où elle a fait plusieurs stages avec ce souci de vraisemblance et même de véracité). « Les personnages existaient avant les stages puis ont été nourris par la part documentaire ».

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    « La justice des mineurs est un honneur de la France » – Emmanuelle Bercot

    « Si c’est méchant, j’espère que c’est drôle ». – Catherine Deneuve à propos d’une question d’une journaliste au sujet de la caricature de Charloe Hebdo (très cruelle) à son sujet et qu’elle n’avait pas encore vue.

    « C’était très important pour moi que ce film ait son socle dans le Nord. » Emmanuelle Bercot

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    « Ouvrir le festival avec ce film est aussi une réponse à ce début d’année difficile qu’a connu la France. » Catherine Deneuve

    « En France, les femmes cinéastes ont largement la place de s’exprimer et énormément de femmes émergent. » E.Bercot

    « Moi c’est le scénario qui m’a beaucoup plu et tous les personnages. C’est un scénario qui m’a plu tout de suite. » Catherine Deneuve

    « Pour être star, il faut du glamour et du secret, ne pas tout montrer de sa vie privée. » – Catherine Deneuve

    « Il y a une matière documentaire très forte dans l’écriture, en revanche je ne voulais pas un style documentaire dans l’image. » Bercot

    Sara Forestier : « A la lecture du scénario, j’ai pleuré. Le film m’a piqué le coeur. »

    « C’est totalement inespéré que ce film soit à une telle place, c’est un grand honneur. » Emmanuelle Bercot

  • Dîner des chefs au profit des Restos du Coeur à l'Alliance des saveurs à Laval

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    À l’occasion de la campagne d’hiver des Restaurants du Cœur 2016, plus de 100 Chefs Châteaux & Hôtels Collection signent, ce jeudi 8 décembre, 13 dîners uniques dont un dîner à Paris mais aussi un dîner à Laval à L'Alliance des Saveurs. L'occasion de découvrir ce bel établissement mayennais. Voici le menu de cette soirée d'exception au profit d'une bonne cause (100 euros / Personne boissons comprises).

     

    * Recette entièrement reversée à l'Association les Restaurants du Coeur

     

    L'Alliance des Saveurs - Laval

    23 Chemin du Préfet

    Bonchamp-Lès-Laval

     
     08 décembre 2016 à 19h30
     
     

    LES CHEFS

    Baptiste DENIEUL
    Guer (56)
    Stéphane LOUVEAU
    Bonchamp-Lès-Laval (53)
    Mickaël PIHOURS
    Saumur (49)
    Nathan CRETNEY
    La Mothe-Achard (85)
    Didier CHAPEAU
    Loué (72)
     
     

                      

  • Photos de Laval (épisode 2) : Instameet sur le Vallis Guidonis et flâneries lavalloises

    A l'initiative de Mayenne Créative (@MayenneCreative sur Instagram) avec la complicité de l'office de tourisme de Laval, était organisé un "Instameet", c'est-à-dire une rencontre entre utilisateurs d'Instagram en Mayenne, sur le Vallis Guidonis. L'occasion de voguer sur la Mayenne, de découvrir notre belle ville de Laval sous un angle différent et de voir les illuminations de près.  Vous retrouverez mes clichés ci-dessous ainsi que deux ou trois autres pris lors de mes flâneries lavalloises. Retrouvez d'autres photos sur mon compte Instagram @sandra_meziere.

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  • Merci les Mayennais et le Cultura de Laval / St Berthevin

     

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    De belles rencontres. Une journée très agréable. Merci Cultura pour l'accueil et vivement la prochaine ! Et, en bonus, ci-dessous, la nouvelle publicité de mon éditeur "Les Editions du 38" sur laquelle mon recueil de nouvelles "Les illusions parallèles" figure en bonne compagnie. Merci à l'équipe du Cultura de Laval / St Berthevin pour l'accueil.

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